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Echangisme dans un cinéma porno à Paris France

Au parc Mont Royal de la nuit, un inconnu me prit longuement, lentement, chaque poussée de ses reins me faisant frissonner de plaisir tandis que mon fornicateur me tenait tendrement le visage entre ses mains et que les deux autres se délectaient du spectacle. Je sentis monter en moi les ondes du plaisir…

    — Non ! Je poussai un petit cri car il venait d’abandonner mon ventre en feu, laissant un grand vide dans mes chairs et mon orgasme naissant retomber. La tige gigantesque frôlait encore ma peau. Les grandes mains posées sur mon cul écartèrent les globes, un doigt vint jusque dans mon ventre recueillir mon humidité et appuya sur mon petit trou, s’enfonça, revint en arrière, recommença, vite rejoint par un deuxième.

    — Non ! Amour ! Pas ça ! Il veut mon anus ! Non ! Il va me mettre en pièces, il est beaucoup trop gros ! Il a déjà trois doigts en moi.  C’est trop bon mais pas plus!

    — Relax, ma petite salope, laisse-toi faire ! Je suis sûr qu’il va être très doux et tu vas aimer.  Crois moi que tu vas jouir comme tu n’as jamais joui. Il ne va pas te mettre en pièces mais te remplir totalement, jusqu’au fond de tes reins!

— Ecoute mon beau salaud.... Fucke kolisse Non! Tabarnak il le fait ! Aïe… Ohhhh, je m’ouvre,  je m’ouvre… Mon dieu, c’est kolisse! Arrête ! Ne bouge plus! Ciboire… Là… Oui, doucement… mon salaud, il est rentré ! Je le sens partout dedans… Il a mis son gros pénis dans mon cul. Ouiass, je n’ai même plus mal… Comme c’est bon ! Vas-y, j’ai trop envie, enfonce-toi! Mon beau salaud, cette fois il me sodomise! Ouiiiiii… Encore ! Il est au fond ! Défonce-moi ! J’aime trop, j’aime ! Mon beau Salaud, il va me rendre folle, c’est trop bon ! Je sens que je vais jouir, là… Je… saint esprit… ciboire, je viens, je viens, ça y est… tabarnak… Inonde-moi ! Ouiiiii !

Planté au fond de mes reins, il a explosé, m’a inondée. Je n’ai pu m’empêcher de crier en jouissant, les yeux dans ceux de mon beau fornicateur inconnu qui me soutenait et me couvrait de caresses. J’ai dû perdre conscience un moment car je me suis retrouvée allongée sur le transat, couverte d’un plaid quelques instants plus tard.

Mon conjoint qui m'amenait au Parc mont Royal et trois autres inconnus parlaient à voix basse, attendant leur tour.

La nuit était tiède, j’étais cette fois vraiment comblée, repue, harassée mais contente en calice!